Comme le disait notre précédent président : « Les emmerdes, ça vole en escadrille ». Et si j’emploie le mot de varicelle, je pense remporter la sympathie d’un grand nombre de mes quelques lecteurs.
Maintenant, c’est fait, heureusement que ça n’arrive qu’une fois, mais se faire les deux filles, coup sur coup, ça comment à faire beaucoup. D’autant qu’elles n’ont pas réagit de la même manière. Comme si elle n ‘avait pas eu la maladie.
L’Ainée (4 ans) nous a fait la varicelle version « Tragédienne Grecque », peu de fièvre, gros bouton et un talent certain pour l’emphase :
– « Papa, j’ai trop trop mal ! Ce n’est pas possible que je continue ! (tu peux me porter dans tes bras ?) »
Là, c’est la Cadette (2 ans) qui est en plein dedans et quand elle tombe malade, elle ne fait pas semblant. Moins de boutons, moins d’emphase, mais 40,6 °C. A comparer, je préférais la varicelle de l’Ainée. Au moins, elle n’était pas apathique, elle ne passait pas sa nuit à pleurer ou à m’appeler parce que « A gratte ».
Dans les deux cas, les nuits ont été courtes. Je veux bien que j’ai besoin de peu de sommeil, mais là, je sens mon corps qui a du mal à suivre.
Je vous laisse, je vais aller me rouler en boule et attendre qu’on s’occupe de moi.
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